Avis des Couëronnaises et Couëronnais sur cette analyse

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Contributions des Couëronnaises et Couëronnais

Wtkowski Michel

15/12/2023

la limitation a 30km h en ville et entre les deux centralités serait déjà une bonne manière de faire cohabiter vélos et voitures

Bettina Foulon

15/12/2023

la limitation a 30km h en ville et entre les deux centralités serait déjà une bonne manière de faire cohabiter vélos et voitures

Delphine

15/12/2023

Pour ma part il n'est pas envisageable de prendre le vélo depuis Couëron, c'est peu sécurisé et non étudié pour. Je suis à quelques mètres de l'arrêt Berligout, j'ai souvent eu envie de prendre la D17 pour rejoindre Atlantis,L1, la gare d'Indre, passer à pied ici pour rejoindre des sentiers de rando, la route est effrayante. On se fait raser par les voitures. Idem le long de Basse Indre, c'est peu rassurant. Il faudrait comme aux Pays bas, un muret qui sépare vraiment les routes vélo/voiture

THD44220

10/12/2023

La configuration du territoire et sa voirie nous oblige à envisager un partage des voies de circulation entre les voitures, les transports en commun et les vélos
Le choix d'une circulation en sens unique et/ou alternée, de voie réservée à un mode de mobilité en particulier me parait être un choix à approfondi car il me parait totalement compatible avec le territoire Couêronnais

Antoine A

09/12/2023

Bien d'accord avec l'analyse, mais il manque toujours la question de la possibilité d'accéder à la métropole en sécurité depuis la Chabossière.
Effectivement un sérieux manque de cohérence. A se demander si les personnes décidant des implantations des pistes cyclables les utilisent ??

helenecadier

06/12/2023

Je suis d'accord, le réseau est en effet très discontinu, notamment sur les ronds points sur les grands axes. Le vélo n'a pas de priorité et c est dangereux.

CHAMPION

29/11/2023

Analyse réaliste, mais cela laisse présager des solutions limitées pour les secteurs ruraux où les habitants sont plus dépendants des voitures.

Rousseau

27/11/2023

Je partage l'analyse mais elle laisse à penser que peu de solutions sont finalement possibles pour créer un maillage continu de pistes cyclables et non de bandes cyclables. En effet ces dernières sont souvent mises en œuvre car certainement plus rapides à réaliser et moins couteuses que des véritables pistes indépendantes mais elles ne sont pas du tout adaptées pour circuler avec des enfants et elles ne satisfont finalement ni les automobilistes ni les cyclistes.

LaurentR

25/11/2023

Les aménagements cyclables rue de la Siniere, rue de la Salle, bvd de l'Europe sont loin d'être des bons modèles.
Le chaussidou en test rue de la Lionniere est une horreur.
Il faut arrêter de vouloir faire passer tous les modes de transports sur une même petite route.
Il faut donner la priorité aux vélos / piétons sur certains axes en limitant franchement la praticité pour les voitures. (Exemple la rue des faneurs avec les chicanes c'est mieux, mais elle pourrait être réservée aux vélos.)

Rousseau F

23/11/2023

Certaines voies cyclables sont très belles (bord de Loire), d'autres sont discontinues et d'autres sont à créer.
Dans les zones limitées à 30km/h, il manque parfois des panneaux pour faire un rappel, le marquage au sol ne suffit pas (cas de la rue des fleurs par exemple).

Juliette

22/11/2023

J'effectue au minimum 2 aller-retour par semaine, à vélo (VAE) pour me rendre au travail (Atlantis) en partant du centre de Couëron depuis maintenant 5 ans. Comme il n'existe pas partout de pistes cyclables, il faut cohabiter avec les voitures et ne me sentant pas en sécurité, je m'oblige à faire un détour par des rues moins fréquentées par les voitures où je me sens plus à l'aise et moins en danger. De ce fait, mon trajet est plus long de 5 minutes.

Florian Guilaumé

20/11/2023

En tant qu'usager quotidien depuis près de an (trajet " rue Jules Massenet - rue Jan Palach " A/R tous les jours), je contaste que certaines zone sont aménagées mais inapropriées. Par exemple : morceaux de pistes cyclable de quelques dizaines de mètres, qui nécessitent ensuite une réinsertion sur la voie principale, avec mise en danger. D'autre part, certaines voiries dégradées notamment sur les cotés (zones de circulation des cyclistes) imposent de faire un écart, avec mise en danger.

Nico

20/11/2023

Il faut être vigilant dans les itinéraires depuis les villages. Rallonger les circuits par de petites routes/chemins n'offre pas forcément de la sécurité (route étroite, vitesse excessive, sans visibilité) et cela sera démotivant de faire un trajet en vélo plus long en kilomètre (et encore plus en temps) que le même trajet en voiture.

Nico

20/11/2023

Les villages ne sont connectés à aucune centralité, leurs habitants sont totalement dépendant de la voiture. Emprunter la route de la Montagne (qui est pourtant de plus en plus fréquentée par les cycliste et trottinettes) est assez périlleux. D'autres communautés de communes ont fait des choix plus ambitieux pour les secteur ruraux, comme la voie cyclable qui permet de relier Treillière à Grandchamps des Fontaines: piste cyclable isolée derrière les haies. C'est donc possible ailleurs...

chezvanessa

20/11/2023

Utiliser d'autres voies pour les vélos, en réhabilitant les chemins communaux par exemple ?

Sébastien T

17/11/2023

Lorsque la largeur de la voie ne permet pas deux aménagements cyclables, sur chacun des côtés de la voirie, il est souvent possible de le faire au moins sur le côté en côte (à la descente, la différence de vitesse avec les voitures est moins problématique) : je pense aux voies menant au pont au dessus la voie de chemin de fer, et aux côtes des deux boulevards.
Je suis d'accord avec la remarque d'un intervenant : "Je ne suis pas contre faire 10% en plus de km si c'est un parcours sécurisé."

Noemie

17/11/2023

Le constat est bon. L'aménagement vélo actuel a été réalisé la où il y avait de la place à la condition que ça ne gêne pas trop les voitures. Actuellement il est pratiquement impossible de circuler en sécurité en vélo avec un enfant (pour aller à l'école par exemple). Pourquoi ne pas adopter une signalétique quand même sur les axes étroits et montrer que le vélo peut être présent ? Pourquoi ne pas limiter ses mêmes axes obligatoirement à 30 km/h ? (Particulièrement les grands axes).

jade

16/11/2023

Habitant en zone rurale j'utilise régulièrement la route de La Montagne pour me rendre à Couëron Centre. La densité des véhicules aux horaires de "pointe" est devenue inquiétante, surtout pour les rares vélos qui prennent cet itinéraire. De nombreux véhicules avec 1 seule personne se rendent à leur travail vers les Hauts de Couëron, ne pourrait-on pas envisager une piste cyclable détachée de cette route pour inciter les gens à utiliser leur vélo ? (Comme à partir de La Chabossière/ à terminer)

VOLLMER

15/11/2023

l'analyse est correcte
la priorité serait de supprimer la discontinuité entre le bourg et La Chabossière

SimonM

11/11/2023

Faire respecter les zones 30km/h est indispensable.
Ce qui n'est pas (ou rarement) le cas sur Couëron (avez-vous déjà vu un radar ??).

Et si le gabarit de la route ne permet pas un aménagement cyclable alors il devrait être d'office limité à 30km/h

Re-cyclorit

10/11/2023

En raison de la multimodalité incontestable de la gare (le parking vélo est une réussite), la qualité des accès est primordiale. L'axe privilégié identifié lors des ateliers sur les déplacements doux il y a 10 ans était la rue Alexandre Olivier (entre le bourg et la gare). Cette rue est très fortement dégradée entre le boulevard de l'Europe et le rond point de la rue Fernand Doceul : trous, dévers de chaussée, vitesse excessive des voitures ( vitesse théorique limitée à 30 km/h)

vcouturier

10/11/2023

Certaines portions sont difficilement aménageables. Dans ce cas-là, peut-être prévoir des itinéraires favorisant le vélo à la voiture et garder les itinéraires principaux pour les voitures le temps de diminuer la fréquentation des axes par les voitures (si ça arrive un jour).
Je ne suis pas contre faire 10% en plus de km si c'est un parcours sécurisé.
Concernant les aménagements cyclables existants, ils manquent d'entretiens: certains sont impraticables actuellement à cause des feuilles mortes.

Lucie

09/11/2023

Enorme travail à faire pour développer les aménagements vélo sur la ville. Je rajouterai dans les "principales problématiques" évoquées: les accès aux écoles. Aujourd'hui beaucoup n'osent pas prendre les vélos pour emmener les enfants à l'école à cause de l'absence d'aménagements sur les voies. Pourtant cela permettrait de réduire les problèmes de stationnement, de réduire la circulation des voitures aux abords des écoles et d'inciter dès le jeune âge à la pratique du vélo!

Florent HENRY

09/11/2023

Manque particulier d'aménagements entre la chabossiere et les hauts de coueron

BILLAULT JC

09/11/2023

Le réseau cyclable actuel est discontinu et un frein à son usage sur 3 axes que beaucoup de monde souhaiterait utiliser, à savoir
Bourg/Le Paradis
Le Bossis/Chabossiere
Chabossiere/Haut de Coueron

Jerome B

08/11/2023

Dans les cas ou des aménagements réservés aux vélos, il est important de légitimer et prioriser la circulation des vélos sur ces voix de circulation par de marquages au sol.
Le vélo doit avoir sa place sur tous les axes de circulation urbains et non s'effacer comme c'est trop souvent le cas.

HIPPOLYTE PRUVOST

08/11/2023

Favoriser la pratique du vélo le week-end, en promouvant des circuits et randonnées vélos et/ou en entretenant les chemins existantes et/ou en créant de nouveaux chemins

HIPPOLYTE PRUVOST

08/11/2023

Même si tout les aménagements ne sont pas possibles, une délimitation des zones par des voiries partagées serait un plus notamment sur les voies vers la gares, vers les hauts de Couëron et vers la zone industrielle d'atlantis

Fred

08/11/2023

Le réseau actuel ne permet pas une pratique saine et simple du velo. Voirie non entretenue, pistes cyclables mal pensées avec des zones dangereuses, signalétiques non entretenues, voies cyclables interrompues, priorité à la voiture sur les intersection. Il y a un gros travail à faire car l'aménagement actuelle n'est pas adapté.